Pauvre petit poutte...
Je suis allée voir 'The Women' au cinéma ce soir avec Charlie.
Some of the best fun I've had at the movies. J'ai aussi eu une grosse journée au travail, et demain sera pire encore. Et je ne vous parle pas de la fin de semaine. Ah, la belle température est arrivée, voyez-vous. J'étais donc un brin fatiguée lorsque j'ai pris le volant de ma petite voiture en direction de ma petite maison contenant mon petit lit.
Et mi-chemin sur l'autoroute, je l'ai vu.
Au milieu de la voie du centre. Assis, la tête courbée, probablement mort de peur.
Un koala.
J'ai dû virer pour ne pas l'écraser. Et là, la panique m'a envahi. Je voyais toutes les voitures qui s'en venaient derrière moi. Le pauvre petit, il était tellement cute. Vous savez, on voit souvent des pannaux routiers signalant une zone propice aux kangourous et aux koalas. Des kangourous, on en voit souvent. Mais pas des koalas. Jamais. Mon coeur a fait mille tours quand je l'ai vu.
J'ai voulu appeler quelqu'un tout de suite, mais c'est super illégal parler au téléphone en conduisant ici. Alors dès que j'ai pu, j'ai appelé Allen. Est-ce qu'il existe un numéro pour appeler les Rangers? Quelqu'un de la SPCA? Existe-il un genre de hotline pour ce genre d'urgence? Il pensait que non, pas à 11h40 du soir.
Arrivée à la maison, je me suis lancée sur mon ordi. L'internet à la rescousse! J'ai trouvé un numéro qui m'a conduit à un centre spécial pour les koalas. Le gentil monsieur au bout de la ligne m'a rassuré que quelqu'un avait appelé et que les Rangers étaient déjà en chemin.
J'étais soulagée. Pour le petit poutte, d'abord, mais aussi du fait qu'il y avait des gens qui travaillent toute la nuit pour protéger la faune fragile et singulière de ce beau pays. J'ai chaudement remercié le gentil monsieur.
Parce que si j'avais vu mon petit koala en forme de road kill demain matin en me rendant au travail, je ne sais pas si je m'en serais remis.
Some of the best fun I've had at the movies. J'ai aussi eu une grosse journée au travail, et demain sera pire encore. Et je ne vous parle pas de la fin de semaine. Ah, la belle température est arrivée, voyez-vous. J'étais donc un brin fatiguée lorsque j'ai pris le volant de ma petite voiture en direction de ma petite maison contenant mon petit lit.
Et mi-chemin sur l'autoroute, je l'ai vu.
Au milieu de la voie du centre. Assis, la tête courbée, probablement mort de peur.
Un koala.
J'ai dû virer pour ne pas l'écraser. Et là, la panique m'a envahi. Je voyais toutes les voitures qui s'en venaient derrière moi. Le pauvre petit, il était tellement cute. Vous savez, on voit souvent des pannaux routiers signalant une zone propice aux kangourous et aux koalas. Des kangourous, on en voit souvent. Mais pas des koalas. Jamais. Mon coeur a fait mille tours quand je l'ai vu.
J'ai voulu appeler quelqu'un tout de suite, mais c'est super illégal parler au téléphone en conduisant ici. Alors dès que j'ai pu, j'ai appelé Allen. Est-ce qu'il existe un numéro pour appeler les Rangers? Quelqu'un de la SPCA? Existe-il un genre de hotline pour ce genre d'urgence? Il pensait que non, pas à 11h40 du soir.
Arrivée à la maison, je me suis lancée sur mon ordi. L'internet à la rescousse! J'ai trouvé un numéro qui m'a conduit à un centre spécial pour les koalas. Le gentil monsieur au bout de la ligne m'a rassuré que quelqu'un avait appelé et que les Rangers étaient déjà en chemin.
J'étais soulagée. Pour le petit poutte, d'abord, mais aussi du fait qu'il y avait des gens qui travaillent toute la nuit pour protéger la faune fragile et singulière de ce beau pays. J'ai chaudement remercié le gentil monsieur.
Parce que si j'avais vu mon petit koala en forme de road kill demain matin en me rendant au travail, je ne sais pas si je m'en serais remis.