Aussie Aussie Aussie!!
Dimanche passé, j'ai passé une soirée super excitante.
J'ai assisté à un événement qui est descendu dans l'histoire Australienne.
Les Socceroos, l'équipe nationale de soccer Australienne, a gagné son premier match dans la coupe du monde de soccer. Son premier match depuis le début des temps.
Pour la première fois depuis 32 ans, l'Australie s'est qualifié pour la coupe du monde, et leur premier match, contre le Japon, était ce soir-là.
Notre ami Michael avait décidé de souligner l'événement de façon mémorable.
Un duel Japon-Australie depuis le match de soccer (qui commençait à 10h30pm) jusqu'au souper. Au menu: des sushis et des saucisses sur le BBQ. Japon VS Australie, all the way. Il y avait des drapeaux partout dans l'appart, des petits tatoos collants, tout le monde en chandails nationaux. Ça créait tout une atmosphère.
Quelques jours plus tôt, le Japon avait déjà commencé leur tactiques. Le coach a publiquement décrété qu'il coyait que les Australiens jouaient comme des brutes. Trop physiquement, comme pour blesser les joueurs de l'équipe opposante. Ce qui n'est pas le cas. C'était absolument absurde comme commentaire, et on en entendit beaucoup parler aux nouvelles.
Alors, le match commence. En fait, je devrais dire: le théâtre commence. C'était pitoyable. Chaque fois que les australiens et les japonais se frôlaient, les japonais se jettaient par terre, comme s'ils avaient été sauvagement poussés. C'était complètement ridicule. Et l'arbitre y croyait. Continuellement, les Australiens encaissaient les pénalités pour les simagrés des Japonais. Quelle horreur. Mais le pire, dans tout ça, c'est que l'arbitre a accepté un but fautif. Un japonais a sauté et a créé une collision avec le gardien de but de l'Australie. Ceci a empêché ce dernier à stopper le ballon qu'il essayait d'atteindre. Brusquement arrêté dans son élan par le joueur Japonais, il a frôlé des doigts le ballon qui a continué son chemin vers le fond du but. D'habitude, quand il y a interférence avec le gardien, le but est refusé. Pour une raison inconnue, l'arbitre l'a accepté quand même. Les commentateurs, et surtout le coach des Socceroos était en beau fusil. Et avec raison.
Le match continua, et l'Australie n'arriva pas à se ratrapper. Les minutes passent, et nous commençons tous à perdre espoir. Il reste 7 minutes au match, et c'est comme perdu. Michael tente de faire preuve de positivisme. Il essaie de mettre du pep parmis ses invités découragés, et ça ne fonctionne pas. Même moi, j'ai dit: 'Tu penses vraiment qu'ils peuvent scorer 2 buts en 7 minutes quand ça fait 83 minutes qu'ils essaient d'en compter un seul?'
Et là, un miracle se produit.
Les Australiens comptent 3 buts. Trois buts!!! en 7 minutes!!! OH MY GOD.
C'était la folie.
C'était un rush total. Le match fini 3-1 pour les Australiens.
Et la ville est en feu. Les gens dans la rue commencent à crier, à siffler. Les voitures claxonnent. Ça rit, ça chante à tue-tête.
Quelle soirée extraordinaire.
Je me sens cheap d'avoir manqué de foi.
Je ne douterai plus jamais des Socceroos. Quelle performance inoubliable.
J'ai hâte au match contre le Brésil dimanche soir. Parce que maintenant, tout est possible.
J'ai assisté à un événement qui est descendu dans l'histoire Australienne.
Les Socceroos, l'équipe nationale de soccer Australienne, a gagné son premier match dans la coupe du monde de soccer. Son premier match depuis le début des temps.
Pour la première fois depuis 32 ans, l'Australie s'est qualifié pour la coupe du monde, et leur premier match, contre le Japon, était ce soir-là.
Notre ami Michael avait décidé de souligner l'événement de façon mémorable.
Un duel Japon-Australie depuis le match de soccer (qui commençait à 10h30pm) jusqu'au souper. Au menu: des sushis et des saucisses sur le BBQ. Japon VS Australie, all the way. Il y avait des drapeaux partout dans l'appart, des petits tatoos collants, tout le monde en chandails nationaux. Ça créait tout une atmosphère.
Quelques jours plus tôt, le Japon avait déjà commencé leur tactiques. Le coach a publiquement décrété qu'il coyait que les Australiens jouaient comme des brutes. Trop physiquement, comme pour blesser les joueurs de l'équipe opposante. Ce qui n'est pas le cas. C'était absolument absurde comme commentaire, et on en entendit beaucoup parler aux nouvelles.
Alors, le match commence. En fait, je devrais dire: le théâtre commence. C'était pitoyable. Chaque fois que les australiens et les japonais se frôlaient, les japonais se jettaient par terre, comme s'ils avaient été sauvagement poussés. C'était complètement ridicule. Et l'arbitre y croyait. Continuellement, les Australiens encaissaient les pénalités pour les simagrés des Japonais. Quelle horreur. Mais le pire, dans tout ça, c'est que l'arbitre a accepté un but fautif. Un japonais a sauté et a créé une collision avec le gardien de but de l'Australie. Ceci a empêché ce dernier à stopper le ballon qu'il essayait d'atteindre. Brusquement arrêté dans son élan par le joueur Japonais, il a frôlé des doigts le ballon qui a continué son chemin vers le fond du but. D'habitude, quand il y a interférence avec le gardien, le but est refusé. Pour une raison inconnue, l'arbitre l'a accepté quand même. Les commentateurs, et surtout le coach des Socceroos était en beau fusil. Et avec raison.
Le match continua, et l'Australie n'arriva pas à se ratrapper. Les minutes passent, et nous commençons tous à perdre espoir. Il reste 7 minutes au match, et c'est comme perdu. Michael tente de faire preuve de positivisme. Il essaie de mettre du pep parmis ses invités découragés, et ça ne fonctionne pas. Même moi, j'ai dit: 'Tu penses vraiment qu'ils peuvent scorer 2 buts en 7 minutes quand ça fait 83 minutes qu'ils essaient d'en compter un seul?'
Et là, un miracle se produit.
Les Australiens comptent 3 buts. Trois buts!!! en 7 minutes!!! OH MY GOD.
C'était la folie.
C'était un rush total. Le match fini 3-1 pour les Australiens.
Et la ville est en feu. Les gens dans la rue commencent à crier, à siffler. Les voitures claxonnent. Ça rit, ça chante à tue-tête.
Quelle soirée extraordinaire.
Je me sens cheap d'avoir manqué de foi.
Je ne douterai plus jamais des Socceroos. Quelle performance inoubliable.
J'ai hâte au match contre le Brésil dimanche soir. Parce que maintenant, tout est possible.