The Station Agent

I met up with Christine tonight and we went to the Mercury cinema to watch The Station Agent. It was a movie I wanted to see for a while and for the next few months, the South Australian Film Corporation is screening a films that were made for 500 000 dollars or less. And it's free! They are doing that to inspire the future low budget feature film producers and directors of our beautiful state.

The Station Agent is one of Christine's favorite movies, and she was thrilled to see on the big screen.

A great script, great actors and simple locations. The perfect recipe.

Go down to your video store and grab a copy if you can.
It's really nice to see what can be done with a good idea and pennies in film money.

Mon dexième Poladroid

Love this thing...

It's like cheating

Don't you think?

When a band or artist come all the way to Australia for a variety show or something, and they have all the instruments and amps and microphones on stage, all ready to go, and then, the song starts, and it's so obvious they are lipsyncing, I find it so disappointing. Why would they do it? Come all this way to fake it? I think it's being a bit coward. Aren't they signers and musicians so they can actually PLAY?

Anyway...

4 en 4.

J'ai terminé.
J'ai écouté les quatres saisons de Nos Étés en quatre jours.
Ouf! C'était tellement bon!!
Cette fenêtre sur le Québec m'a fait beaucoup de bien. Non seulement parce que ça faisait vraiment longtemps que je voulais voir cette série devenue si populaire, mais aussi, parce que j'avais hâte de voir Maude.

La sacoche que je connais depuis le plus longtemps. J'avais su qu'elle avait décroché ce rôle. Je me souviens l'avoir vu avec ses cheveux coupés courts lors de l'un de mes retours à Montréal. Ma mère me gardait aussi tous les articles parus dans les 7 jours et compagnie. Mes cousines me répétaient à quel point la saga était bonne. Et elle l'était. Maude aussi d'ailleurs!! Elle m'a fait pleurer plus d'une fois, celle-là. Ça m'a fait tout drôle de la voir comme ça, ma vieille chum, transportée dans la peau d'Anaîs dans les années 1930,



puis 1950.


C'est fou de penser que c'est peut-être à quoi elle ressemblera dans 40 ans...
On verra bien.

Chair #1

From my upholstery class, that is.
Everybody knows I have a thing for chairs. Especially old ones that need a bit of love.. So this is not the first chair I have revamped, but the first one I have done with the real tools, supervised by a real pro, and learning the tricks and techniques.

I got this chair at the end of a movie last year. Art department and wardrobe often have sales at the end of principal photography and this one I got after we wrapped Broken Hill. I needed a desk chair and I loved the old fashioned shape and it was very comfortable, and our lovely art director Tuesday gave me a really, really good deal on it...

But the fake red leather was tired, and really, I could do away with the studs. So I thought I'd use it as my first piece in my upholstery class.

So here it is before:


And after.





I am pretty happy with the result; especially because I changed all the padding on the inside, so now, it's even more comfortable. You really can't lose when you revamp an old classic.

Our weekday weekend

I love it when I have a day off the same day Allen starts his off days rotation, especially when it's a week day.
We have all day to ourselves, and no one contacts us to do stuff cause they are all working. Allen sleeps in cause he finished work at 7am, and we slowly start our day, always relaxed, unphased, low key. We had a big breakfast, then did a spot of shopping, watched a movie. Then we went to walk the dogs on the beach. It was beautiful and warm - and empty. Perfect.



Not bad for a thursday.

Mon premier Poladroid.

Merci Vanou, je me fais vraiment du fun avec ce petit programme-là.

Voilà.

Le dernier film sur lequel j'ai travaillé a eu sa première vendredi dernier.
C'est étrange, parce que le film qu'on a tourné avant n'a même pas été gradé encore... Last Ride a eu une post production des plus pressées, parce que le film était en partie financé par le festival du film d'Adélaide et il devait y faire sa première. Donc moins de 5 mois de turnaround. C'est vite en titi.
Le film sortira en salles le 2 juillet.

Alors donc, vendredi dernier, c'était le grand jour.

Avant party, tapis rouge, speachs de nos producteurs et réalisateur devant une salle pleine à craquer. Le film. Oh, le film. Superbe. J'ai eu des larmes à la fin. Et pas de mots. J'étais si fière. Because Last Ride was one for the books for me. Je n'ai jamais été si poussée, si étirée et si travaillée de toute ma vie. Dans la bouette. Dans les roches, le sable, le vent. Au froid, dans le noir, dans le milieu de nulle part. Et aussi dans des endroits absolument magnifiques. Et fabuleux. Ma ride à moi a été difficile sur ce film là. Ça m'a fait chaud au coeur de voir à quel point il est fantastique.

Ça a fait du bien de voir toute le monde, surtout ceux avec qui j'ai vécu cette aventure et qui habitent dans les provinces voisines. C'était comme si on avait wrappé hier. Et Hugo était là. L'acteur coup de coeur de ma carrière.

Quelle belle soirée.

Enfin la pluie

Ça faisait plus de 80 jours que nous n'avions pas eu de pluie.

Depuis début décembre, pas une goutte.

Il y avait des jours où l'on nous en promettait, mais les nuages se dissipaient trop vite pour nous en donner.

Du soleil, toujours du soleil.

Notre jardin est mort.
Notre gazon est maintenant du foin.

Mais aujourd'hui, il a plu. Beaucoup, beaucoup plu. Sur la côte entre l'australie du sud et victoria (province dans laquelle se trouve Melbourne) il y a eu des alertes aux ouragans pour la première fois depuis 40 ans.
C'est de la folie.

Mais bon, ça a aidé les pompiers à combattre les feux de forêts menaçant encore maisons et familles. Et chez nous, des petits brins verts se sont pointé le nez dans la cour.

C'est génial quand il pleut ici. Ça pleut fort, ça pleut pour vrai.
Et ça sent si bon.