L'horloge biologique
Eh non, je ne parle pas de l'alarme qui part à environs 30 ans qui annonce le désir ultime de tomber enceinte. Ben non. C'est moi qui parle, remember?
Je parle de l'horloge biologique qui nous dicte notre cycle journalier. Quand on se lève, quand on a faim, quand on se couche.
En ce moment, j'en ai pas. Ou bien elle est tellement n'importe où que je me sens dans un décalage horaire constant. On commence notre semaine de tournage de jour, ensuite on travaille la nuit, et par la fin de semaine, on commence le midi et on fini à minuit. Pas de temps pour s'en remettre, jamais. C'est fou. C'est un horaire de malade mental. Et pour une fille qui a beaucoup de responsabilités et dont une petite erreur a de conséquences directes sur la production, c'est pas facile de rester mentalement alerte quand tu dors pratiquement pas, et que tu déjeunes à 9 heures du soir, que tu conduit 1h30 pour te rendre sur le plateau de tournage et que tu transportes des caisses de 10 à 55 livres à la journée longue.
Là, ne vous trompez pas. Je ne suis pas en train de me plaindre. Loin de là. Je tente seulement d'expliquer mon absence blogale. Et puis, je ne suis pas du genre à envier les gens qui travaillent de 9 à 5, dans le même bureau, tous les jours. Il en a qui aiment ça, mais ce n'est pas pour moi.
J'espère avoir le temps bientôt de vous raconter nos aventures passées à Broken Hill (ville dans le désert à 500km au nord-est d'Adélaide) la semaine dernière. J'ai aussi des photos qui attendent le ok du département légal pour que je puisse les poster...
Pour l'instant, mon lit m'appelle... même si je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est.
Je parle de l'horloge biologique qui nous dicte notre cycle journalier. Quand on se lève, quand on a faim, quand on se couche.
En ce moment, j'en ai pas. Ou bien elle est tellement n'importe où que je me sens dans un décalage horaire constant. On commence notre semaine de tournage de jour, ensuite on travaille la nuit, et par la fin de semaine, on commence le midi et on fini à minuit. Pas de temps pour s'en remettre, jamais. C'est fou. C'est un horaire de malade mental. Et pour une fille qui a beaucoup de responsabilités et dont une petite erreur a de conséquences directes sur la production, c'est pas facile de rester mentalement alerte quand tu dors pratiquement pas, et que tu déjeunes à 9 heures du soir, que tu conduit 1h30 pour te rendre sur le plateau de tournage et que tu transportes des caisses de 10 à 55 livres à la journée longue.
Là, ne vous trompez pas. Je ne suis pas en train de me plaindre. Loin de là. Je tente seulement d'expliquer mon absence blogale. Et puis, je ne suis pas du genre à envier les gens qui travaillent de 9 à 5, dans le même bureau, tous les jours. Il en a qui aiment ça, mais ce n'est pas pour moi.
J'espère avoir le temps bientôt de vous raconter nos aventures passées à Broken Hill (ville dans le désert à 500km au nord-est d'Adélaide) la semaine dernière. J'ai aussi des photos qui attendent le ok du département légal pour que je puisse les poster...
Pour l'instant, mon lit m'appelle... même si je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est.