Une semaine de fou.
Une semaine de fou, je vous dis!
C'est vraiment difficile de décrire combien de travail ça prend pour faire un film. Un vrai film, là, pas un petit court métrage que tu fais la fin de semaine avec des chums. Voir une trentaine de personnes travailler comme des abeilles dans le bureau, dans la costumerie, dans les loges de maquillage, dans les studios de construction, dans le stationnement arrière sur les véhicules, c'est impressionnant.
Notre dernière semaine de préproduction est terminée. Lundi, ça commence pour vrai. Et on est déjà essoufflés. Avec notre nouvelle caméra sont arrivés de nouveaux défis, de nouveaux problèmes. Des choses que nous pouvions pas prévoir, la caméra étant si neuve que nous sommes dans des premiers à l'utiliser pour faire un long métrage. Il a fallu créer un réseau. Appeler des gens qui connaissent la caméra, à savoir si ils ont entendu parler de quelqu'un qui a connu les mêmes 'glitchs', voir comment la caméra a réagi sous certaines conditions la première fois, comment les premiers premiers utilisateurs ont contourné certains problèmes, etc. Il y a des blogs et des forums de discussion sur le net qui peuvent parfois aussi aider.
C'est fou, vraiment.
Moi, je trouve ça intéressant. J'essaie de me faire à l'idée que c'est ça, le futur du cinéma. Mais mon supérieur a parfois un peu de difficulté à se rendre à l'évidence. Ça fait longtemps qu'il travaille avec du film. C'est un grand pas à faire, surtout quand vient le temps d'accepter les limitations du numérique. C'est frustrant, des fois, être habitué à faire quelque chose de simple et que tout d'un coup ça devienne extra compliqué ou impossible à faire.
Alors on fait notre petit chemin comme on peut. Le vrai test sera lundi, lorsque nous apporteront la caméra sur le terrain. J'ai encore beaucoup à faire. Beaucoup, beaucoup. Parce qu'il faut quand même les impressionner, ces américains.
C'est vraiment difficile de décrire combien de travail ça prend pour faire un film. Un vrai film, là, pas un petit court métrage que tu fais la fin de semaine avec des chums. Voir une trentaine de personnes travailler comme des abeilles dans le bureau, dans la costumerie, dans les loges de maquillage, dans les studios de construction, dans le stationnement arrière sur les véhicules, c'est impressionnant.
Notre dernière semaine de préproduction est terminée. Lundi, ça commence pour vrai. Et on est déjà essoufflés. Avec notre nouvelle caméra sont arrivés de nouveaux défis, de nouveaux problèmes. Des choses que nous pouvions pas prévoir, la caméra étant si neuve que nous sommes dans des premiers à l'utiliser pour faire un long métrage. Il a fallu créer un réseau. Appeler des gens qui connaissent la caméra, à savoir si ils ont entendu parler de quelqu'un qui a connu les mêmes 'glitchs', voir comment la caméra a réagi sous certaines conditions la première fois, comment les premiers premiers utilisateurs ont contourné certains problèmes, etc. Il y a des blogs et des forums de discussion sur le net qui peuvent parfois aussi aider.
C'est fou, vraiment.
Moi, je trouve ça intéressant. J'essaie de me faire à l'idée que c'est ça, le futur du cinéma. Mais mon supérieur a parfois un peu de difficulté à se rendre à l'évidence. Ça fait longtemps qu'il travaille avec du film. C'est un grand pas à faire, surtout quand vient le temps d'accepter les limitations du numérique. C'est frustrant, des fois, être habitué à faire quelque chose de simple et que tout d'un coup ça devienne extra compliqué ou impossible à faire.
Alors on fait notre petit chemin comme on peut. Le vrai test sera lundi, lorsque nous apporteront la caméra sur le terrain. J'ai encore beaucoup à faire. Beaucoup, beaucoup. Parce qu'il faut quand même les impressionner, ces américains.
1 Comments:
Ça me fait penser à la NASA quand ils ont envoyé un homme sur la lune la toute première fois : fallait prévoir l'imprévisible.
xx
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