L'orage
Depuis quelques jours, ça gronde dehors.
L'automne est enfin arrivé, et il pleut. Beaucoup. Par averses ponctuées et abondantes. Le jardin est revenu à ce qu'il était avant la vague de chaleur. Si on écoute bien attentivement, on peut parfois l'entendre boire à grandes gorgées.
C'est une semaine qui attire les Uggies, les bons cafés chauds, les livres, les chandelles et les couvertes douces.
Et aujourd'hui, j'aurais tout donné pour pouvoir aller boire un bon bol de café au lait au Café de l'Écluse avec Mélanie. C'était notre spot durant mon dernier voyage, et tout de suite, là, je meure d'envie d'y aller.
J'ai un peu le mal du pays aujourd'hui.
Mel appelle ça le syndrome d'avoir ses racines loin ses branches. Et elle a tellement raison. Alors j'ai décidé d'incorporer un peu mon pays et mon passé autour de moi. J'ai finalement fait mes babillards. Je m'en étais acheté trois carrés, et ils étaient sur mon mur, jusqu'à présent, tristement vides. Alors j'ai sorti photos, cartes, petits objets, et j'ai fait ma muraille. Et maintenant, assise à mon bureau, je peux lever les yeux et voir des choses qui me rapellent mon temps à Brébeuf, mon bal de finissant à Durocher, mes voyages à Paris, en Thailande, en Écosse. Ma famille. Mes amis. Montréal. Les films sur lesqels j'ai travaillé. Un beau melting pot.
Dehors, l'orage gronde toujours.
Mais mon esprit est plus calme.
L'automne est enfin arrivé, et il pleut. Beaucoup. Par averses ponctuées et abondantes. Le jardin est revenu à ce qu'il était avant la vague de chaleur. Si on écoute bien attentivement, on peut parfois l'entendre boire à grandes gorgées.
C'est une semaine qui attire les Uggies, les bons cafés chauds, les livres, les chandelles et les couvertes douces.
Et aujourd'hui, j'aurais tout donné pour pouvoir aller boire un bon bol de café au lait au Café de l'Écluse avec Mélanie. C'était notre spot durant mon dernier voyage, et tout de suite, là, je meure d'envie d'y aller.
J'ai un peu le mal du pays aujourd'hui.
Mel appelle ça le syndrome d'avoir ses racines loin ses branches. Et elle a tellement raison. Alors j'ai décidé d'incorporer un peu mon pays et mon passé autour de moi. J'ai finalement fait mes babillards. Je m'en étais acheté trois carrés, et ils étaient sur mon mur, jusqu'à présent, tristement vides. Alors j'ai sorti photos, cartes, petits objets, et j'ai fait ma muraille. Et maintenant, assise à mon bureau, je peux lever les yeux et voir des choses qui me rapellent mon temps à Brébeuf, mon bal de finissant à Durocher, mes voyages à Paris, en Thailande, en Écosse. Ma famille. Mes amis. Montréal. Les films sur lesqels j'ai travaillé. Un beau melting pot.
Dehors, l'orage gronde toujours.
Mais mon esprit est plus calme.
4 Comments:
that's nice! And you can keep adding to it :)
Ça prendrai un scratch and sniff du St-Hubert sur ton babillard...
Je t'embrasse xxx
salut la soeur,
je vois que tu t'ennuie de la famille...mais il n'y a pas de photos de ta soeur ni de ton frère sur ton babillard de souvenirs de Montréal !?
nous aussi on s'ennuie de toi....mais moi, j'ai ta photo sur le fridge, dans mon background de mon ordi au travail, à la maison, sur ma table de chevet (de mon côté, ainsi que celui de Marie), une photo dans mon portefeuille ainsi que dans plusieurs cadres dans la maison.
try to top that! ;-)
m-a xx
Ha ha, oui, il y a une photo de toi, moi et steph sur mon babillard! Tu as mal regarde!!
Frotte tes yeux et regarde a nouveau...
Mais tu sais, le babillard, ce n est pas la seule place ou il y a des photos dans la maison. J en ai partout, jusque dans la salle de bain! Alors voila...
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